Réduire l’informalité : Enjeux et retards dans le contexte tunisien
La question cruciale de l’informalité a pris le devant de la scène lors du panel inaugural du jeudi 7 décembre des Journées de l’Entreprise 2023, mettant en lumière la nécessité de moraliser ce secteur en l’intégrant au système organisé, notamment sur le plan fiscal. L’occasion était d’explorer la voie de la transition vers une économie transparente et examiner les mécanismes nécessaires pour y parvenir.
Expériences internationales :
Divers pays ont adopté des stratégies pour faire face à l’informalité, avec des résultats souvent probants. Les interventions ont offert un aperçu des différentes approches et des dynamiques observées lors du basculement de l’économie informelle vers le secteur organisé. Ces expériences ont éclairé le débat sur les meilleures pratiques et les leçons à tirer.
Le cas de la Tunisie :
La Tunisie a élaboré des solutions précises pour lutter contre l’informalité, avec des attentes élevées quant à leur impact. Cependant, le report de leur mise en œuvre souligne les défis persistants. Les intervenants ont exploré ces solutions et analysé les implications du retard, mettant en lumière les inégalités persistantes.
Vers une transition réussie :
La mise en application des mécanismes conçus pour lutter contre l’informalité est cruciale. L’événement a permis d’examiner les stratégies possibles pour surmonter les obstacles et faciliter la transition vers une économie organisée. Il était question aussi de souligner l’importance de comprendre comment aborder cette problématique de manière efficace.
La première session des JES 2023 a mis en avant que la lutte contre l’informalité nécessite une approche réfléchie et la mise en œuvre rapide de solutions. Ce défi persistant impacte l’ensemble de la société, perpétuant des inégalités qui demandent une action concertée.
