Economie

Quelle valeur ajoutée pour le financement des startapeurs ?

Depuis ces dernières années, la Tunisie a vécu l’évolution d’une nouvelle génération de startups, dans tous les domaines, du RetailTech, en passant par le ArtTech, le Gaming, la FoodTech, l’AgriTech, ou encore le Big Data.

Certaines startapeurs ont pu lever des fonds allant de quelques centaines de milliers de dollars, d’autres ont dépassé le million, voire plus. Grâce à leur énorme potentiel, toutes rêvent de changer le monde

Les Startups, entreprises d’un nouveau genre, représentent une opportunité pour accélérer l’innovation et l’acquisition de nouvelles parts de marché, mais celles-ci se retrouvent souvent confrontées à la méfiance d’investisseurs peu familiers des business-modèles des startups et qui restent très attachés aux indicateurs financiers traditionnels. Vu l’importance de ce sujet, un quatrième panel intitulé « Entreprises et Startups : Quelles Interactions » a été consacré lors de la 35ème édition des journées de l’entreprise pour discuter et résoudre la lacune du financement des startapeurs.

M. Mohamed Salah Frad Directeur Général, UGFS North Africa a déclaré que nous avons plus que 600 startups labellisées en Tunisie et  1500 et 2000 entre startup et incubateur.  

De sa part M. Mohamed Ali MAROUANI, Représentant de l’IRD, a parlé de la relation entre la startup et la recherche scientifique  » je crois que la république et le monde entier ont besoin de science puisque aujourd’hui si on est la c’est grâce aux vaccins des scientifiques ».

Il a également ajouté que les sciences peuvent résoudre les problèmes de déchets qui se trouvent partout en Tunisie.

En outre, M. Dhaher Ghali, un jeune startupeur a expliqué les difficultés de ce secteur qui sont notamment l’investissement et les insuffisances financières.

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