La ministre de la Culture lance une vaste campagne de propreté des sites archéologiques
La ministre des Affaires culturelles, Amina Srarfi, a préconisé, mercredi, une collaboration accrue entre les différentes institutions de son département ministériel. L’objectif est de résoudre plus rapidement les problèmes juridiques et logistiques qui freinent l’avancement des projets. Parmi les priorités annoncées figure le lancement d’une vaste campagne de propreté des sites archéologiques, qui débutera par le Grand Tunis.
Au cours d’une réunion avec les directeurs généraux des institutions sous tutelle et les cadres dirigeants du ministère, la ministre a fait le point sur l’état d’avancement de plusieurs dossiers.
Selon un communiqué du ministère, elle a souligné la nécessité de réviser les textes législatifs devenus obsolètes face à l’évolution du secteur culturel tunisien. Il s’agira de préparer de nouvelles lois, plus adaptées, qui seront soumises aux autres acteurs du domaine.
Les échanges ont également porté sur l’impérative modernisation des méthodes de travail. L’accent a été mis sur la nécessité de mieux mettre en lumière le rôle économique de la culture, présentée comme un véritable moteur de développement aux échelles régionale et nationale. Par ailleurs, Mme Amina Srarfi a exhorté les structures du ministère à adopter des technologies améliorant l’efficacité énergétique, en collaboration avec les institutions spécialisées.
La ministre des Affaires culturelles, Amina Srarfi, a préconisé, mercredi, une collaboration accrue entre les différentes institutions de son département ministériel. L’objectif est de résoudre plus rapidement les problèmes juridiques et logistiques qui freinent l’avancement des projets. Parmi les priorités annoncées figure le lancement d’une vaste campagne de propreté des sites archéologiques, qui débutera par le Grand Tunis.
Au cours d’une réunion avec les directeurs généraux des institutions sous tutelle et les cadres dirigeants du ministère, la ministre a fait le point sur l’état d’avancement de plusieurs dossiers.
Selon un communiqué du ministère, elle a souligné la nécessité de réviser les textes législatifs devenus obsolètes face à l’évolution du secteur culturel tunisien. Il s’agira de préparer de nouvelles lois, plus adaptées, qui seront soumises aux autres acteurs du domaine.
Les échanges ont également porté sur l’impérative modernisation des méthodes de travail. L’accent a été mis sur la nécessité de mieux mettre en lumière le rôle économique de la culture, présentée comme un véritable moteur de développement aux échelles régionale et nationale. Par ailleurs, Mme Amina Srarfi a exhorté les structures du ministère à adopter des technologies améliorant l’efficacité énergétique, en collaboration avec les institutions spécialisées.